mercredi 16 septembre 2009

Où l'homme rejoint l'insecte


Je ne résiste pas au plaisir de vous montrer une fois encore Ishaëna, cette fois dans son entier.

J'ai remarqué, en lisant divers commentaires sur Frankia, sur le Net, qu'elle fascinait nombre de mes lecteurs et j'en suis heureux, car c'est un sentiment qu'elle m'inspire aussi et que j'ai donc essayé de transmettre.

Il est aussi difficile de peindre en mots qu'avec un pinceau. Souvent, la phrase qu'on écrit n'est pas fidèle à l'image qu'on a en tête, les syllabes refusent de se laisser todre, les adjectifs nous fuient... il est bien rare qu'on soit tout à fait satisfait...

Mais parfois, comme pour Ishaëna, la magie fonctionne, avec le stylo comme avec le crayon, et elle est là...

Ishaëna, la faucheuse, la femme terminale, l'amante dernière...

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